La BDC aide les entrepreneurs à être plus technos

Par La rédaction | 29 janvier 2013 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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La Banque de développement du Canada (BCE) offre un financement sur mesure aux entrepreneurs qui désirent investir dans du matériel lié aux technologies de l’information et des communications, comme la planification TI, la stratégie, la sécurité, les services en ligne, le marketing Internet et les médias sociaux.

« Les entrepreneurs nous répètent depuis longtemps qu’ils ont du mal à trouver les fonds nécessaires pour investir dans le matériel informatique et les logiciels, affirme Michel Bergeron, premier vice-président, Marketing et affaires publiques, de BDC. Nombreux sont ceux qui puisent dans leur fonds de roulement à court terme pour financer leurs achats, ce qui a pour effet de diminuer les liquidités dont ils ont besoin pour se livrer à leurs activités. »

Le prêt pour les technologies de la BDC vient avec une période d’amortissement de quatre ans et permet aux PME de bénéficier immédiatement des rehaussements technologiques. Facile à obtenir, flexible et équitablement tarifé, le financement peut servir à acheter de tout, du simple ordinateur de bureau et des logiciels de base aux plus récents modèles de tablettes et aux services de consultation, tout en aidant à préserver le fonds de roulement à court terme dont toute entreprise a tant besoin.

Répondre à un besoin du marché

Le jour où il a eu l’occasion d’accéder aux marchés internationaux, Omar Hammoud, président et chef de la direction d’APG-Neuros, a investi son prêt pour les technologies de l’information dans de nouveaux logiciels. Grâce à son achat, il a réussi à satisfaire à la demande croissante pour ses produits et à se lancer avec succès à la conquête de marchés mondiaux.

« La plupart des banques hésitent à financer l’achat de logiciels, du fait que ces produits représentent des actifs incorporels qui ne peuvent être détenus en garantie, explique M. Hammoud, dont l’entreprise fabrique des turbosoufflantes pour le traitement des eaux usées et autres applications industrielles. Par contre, le prêt qui nous a été accordé nous offre le temps et les fonds nécessaires pour améliorer la gestion de tous nos processus. Il nous a du même coup permis de libérer des capitaux pour le développement de nos marchés en Europe, en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique du Sud. »

« Nous sommes constamment à la recherche de moyens novateurs d’aider les entrepreneurs canadiens à devenir plus productifs et plus concurrentiels, ajoute M. Bergeron. Les entreprises canadiennes ont toujours du retard sur leurs concurrents, et le problème est en grande partie attribuable au manque d’investissements dans les technologies. En clair, nous devons faire plus pour encourager une adoption rapide des technologies de l’information et des communications. »

Pour avoir plus d’information sur ce financement, cliquez ici.

La rédaction