Un compte de dépenses pour le mieux-être, une bonne idée?

Par La rédaction | 7 septembre 2016 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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La mise en place d’un compte discrétionnaire pour les dépenses liées au mieux-être des employés est loin d’être aussi simple qu’elle n’y paraît.

Ces comptes offrent aux employés un montant forfaitaire qu’ils peuvent utiliser à leur gré pour le remboursement de soins de santé et des coûts liés à certaines activités favorisant le mieux-être, comme la massothérapie, par exemple. Mais si ces comptes répondent bien aux besoins de flexibilité des travailleurs d’aujourd’hui, ils doivent néanmoins faire l’objet d’un encadrement efficace.

Avant de créer un compte, les promoteurs de régimes doivent encourager la culture du bien-être dans l’organisation, souligne Art Babcock, vice-président principal à Aon Hewitt. Et cela doit se faire par une stratégie soutenue par l’ensemble de la haute direction. « Si elle n’est pas ciblée, la stratégie ne marchera pas », prévient-il.

PAS À PAS

Une fois la stratégie établie, Selon M. Babcock, les promoteurs doivent identifier les types de dépenses qu’ils accepteront de rembourser. La liste n’a pas besoin d’être exhaustive, mais elle doit au moins offrir des lignes directrices pour les réclamations.

« Certains groupes sondent leurs employés pour mieux comprendre leurs intérêts avant de dresser la liste des dépenses admissibles. Celle-ci devrait être réévaluée sur une base annuelle pour voir ce qui mériterait d’être ajouté », conseille M. Babcock.

Ce texte a d’abord été publié sur BenefitsCanada.com. Traduction et adaptation par Pierre-Luc Trudel.

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