Un concours pour récompenser les entrepreneurs canadiens

Depuis de nombreuses années, Ernst & Young se fait un devoir d’encourager les entrepreneurs canadiens. Et l’une des façons pour cette société de le faire est de les récompenser via le Grand Prix de l’Entrepreneur au Canada qui en est cette année à sa 19^e édition.

Sachez que les entreprises canadiennes qui désirent poser leur candidature pour la cuvée 2012 ont jusqu’au 30 avril pour le faire.

Voici des détails importants à connaître au sujet du Grand Prix de l’Entrepreneur du Canada. Les candidats qui désirent soumettre leur candidature doivent être propriétaire, chef de la direction ou l’équivalent du chef de la direction d’une société fermée ou d’une société ouverte, principal responsable du rendement récent et membre actif de la haute direction. La société en question doit de plus être exploitée depuis au moins trois ans.

Parmi les critères qui seront considérés pour déterminer les lauréats: leur vision, leur leadership, leur réussite financière et leur responsabilité sociale.

Voici maintenant le lien qui vous mènera à tous les renseignements nécessaires pour en apprendre davantage sur ce concours, lire la foire aux questions, prendre connaissance des dates à retenir, et surtout pour soumettre une candidature: ey.com/ca/gpe.

Par ailleurs, Colleen McMorrow, directrice nationale et pour l’Ontario du Grand Prix de l’Entrepreneur d’Ernst & Young, a souligné l’importance de récompenser les efforts et surtout les réalisations des entreprises canadiennes. «Dans l’incertitude économique actuelle, l’innovation consiste à comprendre l’évolution de l’industrie et des besoins des consommateurs et à bâtir sur ce qui existe déjà. Nos entrepreneurs savent cela mieux que personne et renouvellent constamment leur capacité de s’adapter aux nouvelles conditions de marché. Quand nos entrepreneurs réussissent, le Canada les Canadiens réussissent aussi. Voilà pourquoi il est essentiel pour l’ensemble de la collectivité de saluer les réalisations des entrepreneurs», a-t-elle précisé à cet effet par voie de communiqué.

Toutefois, Mme McMorrow se dit inquiète que la marque entrepreneuriale du pays ne rayonne peut-être pas aussi bien qu’elle le pourrait. Voici ce qu’elle a indiqué à ce sujet: «Petites ou grandes, ouvertes ou fermées, les sociétés entrepreneuriales constituent un fondement de notre économie. Notre collectivité doit aider les entrepreneurs à réaliser leur potentiel et à créer une marque qui brille ici et qui attire des investissements essentiels au Canada. Du dirigeant d’entreprise qui agit à titre de mentor auprès d’un entrepreneur ou qui l’aide à réseauter, jusqu’à un établissement d’enseignement qui met en place un programme en entrepreneuriat, ou un gouvernement qui allège sa bureaucratie: chaque petit geste compte.»