Placement : hausse des transactions en ligne

Par Ronald McKenzie | 22 juillet 2010 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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La concurrence que livrent les courtiers en ligne aux professionnels du placement s’avive, si l’on en croit un récent sondage de BMO Ligne d’action.

En effet, plus du tiers (34 %) des Canadiens effectueraient des placements en ligne et les géreraient par le truchement d’Internet, ou ils envisagent de le faire. Conscients du travail que cela représente, près de la moitié (45 %) de tous les participants désirent approfondir leurs connaissances en matière de placement. Le tiers (33 %) de personnes sondées ont dit craindre d’investir sans ce qu’ils considèrent être des conseils judicieux.

Dans ce sens, ces investisseurs autodidactes cherchent de l’information fiable et un « éclairage de bonne réputation » pour étayer leur expérience de placement en ligne. Six investisseurs en ligne sur 10 affirment que leur principale source d’information est les médias, tandis que la moitié effectue des recherches générales sur le Web.

Qu’aime-t-on tant des transactions par Internet ?

  • La souplesse de ce mode qui permet aux investisseurs de négocier au moment de leur choix (63 % des participants).
  • La possibilité d’avoir le contrôle et la confiance nécessaires à la prise des décisions concernant les placements (62 % des participants).

Plus de la moitié des investisseurs en ligne (55 %) négocient des actions individuelles, tandis que 51 % d’entre eux optent pour les fonds communs.

« Les services et outils actuellement à la disposition des investisseurs en ligne sont sans précédent », a commenté BMO Ligne d’action. En effet, ce courtier offre des études détaillées, un éclairage par des tiers et des ressources éducatives. « L’investisseur peut accéder tant à des blogues indépendants et à des webdiffusions qu’à des modèles de portefeuille, et il peut profiter d’une plate-forme de ressources de recherche en constante évolution », explique BMO Ligne d’action.

Le communicateur financier Dan Richards, dont nous présentons les textes régulièrement, a raison de dire que les conseillers doivent être au diapason de la technologie s’ils veulent se démarquer.

Ronald McKenzie