Aller à la rencontre de l’Autre

Par François Laporte | 29 octobre 2010 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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Aller à la rencontre de l’Autre (le voisin, le client, le collègue, le fournisseur, etc.) est l’essence même de notre métier de conseiller. Afin de pouvoir le faire longtemps avec plaisir, nous avons tout avantage à propulser notre carrière dans la sphère virtuelle. Qu’on en juge :

  • Le tiers des échanges économiques est maintenant invisible.
  • 68 % des entreprises qui se créent émergent des métiers dématérialisés.
  • Des règlements de toutes sortes restreignent nos droits de communiquer par l’entremise de certains canaux (courriel, téléphone, publicité, etc.)
  • Certaines exigences de conformité (excusez le gros mot) ne servent que les papetières.
  • Les coûts actuels (lourdeur et inefficience) de la distribution des services financiers ne pourront tenir indéfiniment la route sans une migration vers le tout numérique.

Alors, continuons notre périple vers l’âge d’or des affaires qui nous attend.

À l’École du bureau numérique (2e partie)

4. Évaluer le temps et les coûts à investir dans un projet de virage numérique (10 minutes)

En travaillant dans son entreprise, le conseiller prospère dispose de moins en moins de temps pour travailler à son entreprise. Si votre pratique atteint une relative maturité, vous êtes certainement riche d’actifs, mais pauvre de temps. Alors posez-vous honnêtement cette question :

Si votre réponse s’approche de zéro, vous aurez toujours l’opportunité, moyennant des frais, de déléguer une bonne partie des tâches à des conseillers spécialistes en virage numérique de cabinets de services financiers.

Mais peu importe votre choix (seul, avec votre équipe ou avec un spécialiste), attendez-vous à investir (en argent/temps) entre 10 et 20 % de la future plus-value de votre bloc d’affaires… pour un virage réussi!

5. Mesurer la future plus-value de votre cabinet sans papier (5 minutes)

  • Valeur actuelle de votre bloc d’affaires

Objectivement, vous pouvez vous attendre à voir votre bloc d’affaires prendre une plus-value d’au moins 20 % (en argent) ne serait-ce que parce qu’un acheteur éventuel pourra aisément en évaluer la conformité, la segmentation ainsi que le volume des primes et des placements… sans compter l’économie en déménagement de classeurs. De plus, vous verrez se quantifier autrement que financièrement l’importance et la valeur escomptée de ce projet.

François Laporte est conseiller en sécurité financière. On peut le joindre à francois.laporte@cgocable.ca.

François Laporte