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19 septembre 2007 | Dernière mise à jour le 19 septembre 2007
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En raison de l’affaire Norbourg, la cotisation annuelle au Fonds d’indemnisation des services financiers est passée de 80$ à 260 $ pour les conseillers en épargne collective. Allez-vous contester cette hausse injustifiée? Comment?

55 commentaires

VOS RÉACTIONS À CETTE QUESTION

Enquête publique demandée ”Norbourg”

Je suis un investisseur de Norbourg, moi et M. Fernand Deguise sommes les deux personnes qui ont été porté la demande d’enquête publique le 3 mai 2006. Vous pouvez le visionner sur internet, le tout avait été préparer comme il se doit et présenté par l’opposition. Je crois encore en cette demande d’enquête.

Nous avions une pétition de 2400 noms difficilement receuilli avec l’aide de tous les hebdos du Québec, des grands journaux, des médias tv et radios, aide également de certains représentants qui ont contacté leur clientèle et collègues, lettres envoyées par tous aux députés et j’en passe. Il est très difficile de regrouper les gens touchés par ce scandale pour plusieurs raisons et sans regroupement, pas d’action au niveau politique. Pourquoi ne pas vous regrouper et faire force commune….

avnorbourg@yahoo.ca

Lyne Arcand – 19 septembre 2007

La hausse en épargne collective est intolérable!

Cela n’as aucun bon sens ! Nous ne pouvons pas accépter une telle hausse !!! Mes poches sont pas un fond d’urgence, dont la quantité d’argent qu’elle contient peut être mésuré d’un regard…l’AMF a-t-elle vérifier si il y avait assez d’argent dans mes poches pour supporter une hausse plus significative que le boom pétrolier !!! Voyons !

Mario – 18 septembre 2007

Loi de peter

Connaissez vous la loi de Peter. Elle consiste a monter de grade jusqu’a son niveau d’INCOMPÉTENCE. M.St-Gelais est le parfaite exemple.

Tintin – 18 septembre 2007

L’impact de ne pas avoir agi.

En pratique, trois solutions semblent s’offrir :

(a)une intervention politique(b)une requête en Cour Supérieure pour renverser la décision de l’AMF avant son application sur la base qu’elle est déraisonnable et abusive, avec le Rapport Erlichman et d’autres à l’appui(suite)(c)un recours collectif pour reprendre les sommes soutirées par voie du FISF suite à la mise en application de la décision de l’AMF. Les références suivantes sont disponibles sur www.fasken.com à la page dédiée à Me Stephen I. Erlichman.

Voici donc la mise en contexte et la petite histoire…

M. Jean St-Gelais, président de l’AMF, préside aussi depuis plusieurs années l’ACVM, les Autorités canadiennes en valeurs mobilières, organisme regroupant les compétences en valeurs mobilières dans les dix provinces et les trois territoires. L’ACVM a mandaté en début 1999 Me Erlichman de la firme Fasken Martineau Dumoulin d’émettre des recommandations pour guider l’ACVM dans sa formulation d’un régime de gouvernance satisfaisante pour le Canada en matière de fonds communs de placement. En 2000, Me Erlichman soumet son rapport de 257 pages intitulé «Making it mutual : Aligning the interests of investors and managers. Recommendations for a mutual fund governance regime for Canada. » Cinq ans plus tard, en 2005, dans un commentaire intitulé « Mutual fund governance in Canada : recent lessons », commentaire aussi discuté par The Globe and Mail, Me Erlichman rappelle lui-même que plusieurs de ces recommandations n’ont toujours pas été adopté. En particulier, il discute de deux de ses recommandations oubliées et l’impact de ne pas avoir agi dans le contexte de l’affaire Norbourg. Le Rapport Erlichman a conclu spécifiquement qu’il existait(et existe toujours nécessairement)un potentiel réel d’appropriation frauduleuse des capitaux constituant les fonds communs de placement, potentiel à l’encontre duquel il a émis spécifiquement deux recommandations, soit la constitution d’un fond de contingence et l’enregistrement des gestionnaires. Cet enregistrement, dont un rapport publié en 1969(et cité en référence)voyait déjà la pertinence, serait conditionnel entres autres à l’obtention d’une assurance et constituerait un mécanisme permettant la surveillance des fonds de placement par les autorités. Il faut savoir qu’au Québec et au Canada le petit conseiller doit être enregistré mais non le gestionnaire de fonds de placement… Quant à la constitution d’un fond de contingence, le Rapport Erlichman signale qu’un investisseur qui achète des titres d’un fond commun de placement se procure par le fait même un risque associé à un rendement éventuellement insatisfaisant. Cet investisseur ne s’attend pas cependant à ce qu’il perde de l’argent suite à une faillite du gestionnaire du fond, ou des transactions frauduleuses de sa part, d’ou la nécessité d’un fond de contingence compensatoire. De plus, ce fond devrait être érigé à travers le Canada par l’ACVM et supporté par les compagnies de fonds d’investissement, non pas les représentants en faisant la distribution.

Sept ans après son dépôt formel, l’AMF, membre de l’ACVM, choisit de toujours ignorer un rapport interne faisant toujours la référence en la matière et dont l’implantation des recommandations auraient certainement pu faire avorter l’affaire Norbourg, sinon indemniser 100% des investisseurs floués. Au contraire, l’AMF choisit de responsabiliser et cibler une proie facile, petite et dispersée, innocente par surcroît, soit les représentants en épargne collective, les conseillers en sécurité financière et les représentants en IARD constituant l’interface avec le public, vous et moi.

Paul Huneault, ing.,M.Ing., Pl. Fin. – 12 septembre 2007

Mais où est donc la justice?

Voici un article intéressant parut dans La Presse d’aujourd’hui le 10 septembre 2007.

Ce qui saute aux yeux, c’est que les vrais responsables, ceux qui sont fautifs, ce ne sont certainement pas les représentants en épargne collective. Il y a beaucoup d’acteurs dans ce dossier mais pas de représentant en épargne collective.

Pourquoi alors doivent-ils payer les pots cassés?

Parce qu’ils vont japper un peu, mais ils ne mordront pas.

Texte de :

Michel Munger, au palais de justice de Montréal

Jean Hébert a droit à la surprise de sa vie le 3 août 2005. Après quelques mois chez Norbourg, il décide de trouver ce qui sepasse vraiment, constatant que des millions de dollars échappaientaux investisseurs.

Le soir même, il rapporte à l’équipe intégrée de la police desmarchés financiers les informations trouvées à mêmel’historique d’un compte bancaire de Norbourg International.

C’est ce qui ressort de l’audience de mercredi avant-midi au palaisde justice de Montréal, alors que le procès pénal de VincentLacroix redémarre devant le juge Claude Leblond, de la Cour du Québec.

L’histoire de Jean Hébert chez Norbourg commence en octobre 2004,quand il y est embauché à titre de vice-président à laconformité et aux projets spéciaux.

Ce comptable agréé avait déjà servi plusieurs entreprisesauparavant, ayant été chef comptable chez Placements Tal de 1994 à 1997. Mais avant de passer à Norbourg, il a été analyste defonds communs de placement pour l’Autorité des marchésfinanciers, soit de 1998 à 2004.

Approché par le vice-président aux Finances de Norbourg, EricAsselin, il accepte un salaire annuel de 110 000 $ pour s’assurer quele fonctionnement des fonds communs est conforme aux objectifsrecherchés et à la réglementation.

Questionné par Eric Downs, procureur de l’Autorité des marchésfinanciers, M. Hébert a souvent dit que le fonctionnement àl’interne de Norbourg "n’avait pas d’allure".

Ayant questionné à plusieurs reprises ses collègues sur laprovenance de l’argent finançant les activités du groupe deVincent Lacroix, il n’a jamais trouvé une réponse convenable. Ilse demandait pourquoi certains rapports hebdomadaires du gardien devaleurs Northern Trust arrivaient souvent en retard, et pourquoi des écarts de valeurs pouvaient se présenter.

Pour Jean Hébert, quelque chose n’allait pas et c’est l’incident du3 août 2005 qui l’illustre le mieux. À ce moment, il prenait larelève d’Eric Asselin à la vice-présidence des Finances, alorsque M. Asselin planifiait d’aller vivre à Québec.

Vers 10h30, M. Hébert sort des bureaux de Norbourg situés au 615,René-Lévesque Ouest avec M. Asselin. Les deux hommes veulentchoisir un cadeau pour la femme de M. Asselin alors qu’elle retourneaux études.

En marchant vers la Place Ville-Marie, Jean Hébert discute desbudgets de Norbourg avec son collègue. Il demande d’ou vientl’argent et s’inquiète du "robinet ouvert" des dépenses.

Jean Hébert se souvient d’avoir dit ces mots: "Vincent Lacroix nepeut injecter de l’argent tout le temps, nous nous en allions vers ungouffre financier. "

Eric Asselin demande si le financement de Norbourg se faisait à même les fonds communs mais M. Hébert refuse d’envisager cettepossibilité. M. Asselin avance plutôt que la richesse du groupeprovient de Norbourg International.

S’tant auparavant fait dire par le contrôleur financier JeanCholette que "tu ne sauras pas ce qui se passe" chez NorbourgInternational, Jean Hébert décide d’en avoir le coeur net. Enrevenant au bureau, il obtient un accès au compte bancaire de cettesociété à la Banque de Montréal.

En fin de matinée, il consulte et imprime l’historique récent destransactions. Il constate des transferts d’argent à même lesfonds Evolution appartenant aux investisseurs, notamment en juillet2005. Il voit aussi un transfert de 6 M$ vers un compte bancaireappartenant à Vincent Lacroix le 22 juillet.

Jean Hébert est alarmé. L’argent de l’investisseur doit aller vers un compte enfiducie et non chez Norbourg International.

Même si la rumeur dans les couloirs voulait que les 6 M$ aientservi à payer des impôts, le comptable était sous le choc. "J’ai ressenti toutes sortes d’émotions, ajoute M. Hébert enréponse aux questions du procureur Eric Downs. Tu es choqué devoir cela, ça ne se peut pas, prendre l’argent du monde [de cette façon].

Eric Asselin lui demande ce qu’il faut faire. Jean Hébert veutrapporter le tout à l’Autorité des marchés financiers. M.Asselin rétorque que c’est une mauvaise idée car l’équipe intégrée de la police des marchés financiers s’intéresse déjà àNorbourg.

M. Hébert décide donc de téléphoner à ce corps policier. Ilrencontre les enquêteurs Patrick Marinelli et Danny Brisson en soirée, à son domicile. Vers 23h20, il signe une déclaration selonlaquelle il a remis des preuves de son plein gré. Le 8 août, ilfait une déclaration officielle pour dénoncer les pratiquesconstatées chez Norbourg.

Et du 9 au 25 août, date des perquisitions chez Norbourg, Jean Hébert dit avoir connu "des nuits blanches" et "des présencesrobotisées" dans le bureau de son employeur…

Gilles Domon – 10 septembre 2007

L’AMF ajoute l’insulte à l’injure…

Je suis en total désaccord avec la proposition d’augmenter nos cotisations, je suis outré, insulté, frustré, incrédule même devant cette décision de l’AMF !

L’AMF a des choses à se reprocher dans le dossier Norbourg, et elle veut que l’ensemble des représentants en épargne-collective paie pour son manque de vigilance…non mais allo…allo…Vincent Lacroix serait le seul à avoir détourner des millions de $$$….

Nous avons payé très cher à date, par la méfiance engendrée chez nos clients dans toute cette histoire Norbourg….

ASSEZ, C’EST ASSEZ !

Pierre Lantagne – 6 septembre 2007

Question

Je me demande bien comment il se fait que depuis le début de l’affaire Norbourg, nous n’ayons entendu aucun commentaire(à ma connaissance)de la part des responsables des cies de fonds ou de leurs gestionnaires. Aucun d’entre eux ne s’est avancé pour décrier ce scandale; aucun d’entre eux n’a commenté sur le fait que les conseillers qui apportent l’argent à leur moulin seront les seuls pénalisés dans cette affaire.

Je n’arrête vraiement pas de me demander pourquoi ils sont si silencieux ??????

À moins que……………………..

Michel Roy – 6 septembre 2007

Contre l’augmentation de la prime

Je suis contre de payer pour quelqu’un qui a floué ses clients

Jacques Richard – 6 septembre 2007

C’est pas MA faute…..

Franchement, pourquoi aurais-je augmentation de ma cotisation ? ce n’est pas NOTRE faute à nous conseillé rataché à nos compagnie fiables, ce sont les courtiers en bourse qui devraient en payer le prix non ? Désolé, mais en tout cas ce n’est pas MA faute …

Gilbert Laurencelle AVC – 6 septembre 2007

Contestation

Oui, je contesterai en ne payant pas ce montant supplémentaire lors du prochain renouvellement de mon permis.

Normand Lafrance – 5 septembre 2007

Affaire Norbourg

Je trouve injustifié que chacun des représentant ait à se justifier pour des actions antérieurs et qui n’étaient pas conforme selon les politiques déjà établies ces frais devraient être charger aux institutions et non aux représentants

Dianeb – 5 septembre 2007

Mieux vaut tard que jamais

Le fonds d’indemnisation vient piger dans la poche des conseillers, et c’est seulement à ce moment que les conseillers crient au scandale !!! Depuis le 25 aout 2005, peu de conseillers se sont révoltés, peu de conseillers ont incité leurs clients et amis à écrire à leur député afin de leur demander d’agir. combien de conseillers ont insisté auprès des cies de fonds afin de participer au règlement du dossier. On annonce aujourd’hui que ça leur coûtera 260$ par an, et voilà que les conseillers se réveillent !!! Mais mieux vaut tard que jamais. Depuis le début, notre gouvernement aurait dû indemniser à 100% tous les investisseurs, puis prendre à sa charge le recours contre Lacroix, KPMG, PWC, Concentra Trust, Northern Trust, Deschambault, et toute autre entité fautive. Il n’est pas trop tard pour nous redonner confiance dans nos institutions.

Pour l’honneur – 4 septembre 2007

Le FISF a-t-il les moyens de sa mission?

En situation normale, il est facile pour un système d’encadrement de se taguer de protéger le consommateur par le biais du FISF lequel couvre des réclamations jusqu’à 200 000$. Toutefois, l’autorité gouvernementale a toujours le pied marin lorsque l’ensemble des réclamations excède les cotisations annuelles au FISF.

Certes le FISF contribue à la protection du consommateur en offrant un symbole de confiance dans les marchés. Toutefois, l’historique des réclamations au FISF justifie d’établir une meilleure adéquation entre la capacité de payer des cabinets, des sociétés autonomes et des représentants versus la protection des consommateurs.

Quelle sera la récurrence de réclamations majeures adressées au FISF? Comment répartir le financement du FISF par discipline des cotisants? Comment bien informer le consommateur sans créer une culture systématique de réclamation à l’encontre des cabinets, des sociétés autonomes et des représentants? Quelle est la part du consommateur dans sa gestion des risques en cas de fraude, de manoeuvre dolosive ou de détournement de fonds? Comment départager ces responsabilités d’indemnisation entre les acteurs de la gestion de fonds et leurs intervenants de leur distribution? Plus globalement comment s’assurer que l’indemnisation québécoise soit compétitive au palier canadien et international? Le marché financier québécois a-t-il les moyens de s’offrir des paramètres d’indemnisation du FISF aussi généreux?

La judiciarisation des grands dossiers récents faisant l’objet d’indemnisation du FISF a coûté très chers à l’AMF lequel a la responsabilité de s’autofinancer notamment via les cotisations de ses adhérents. En somme, les bailleurs de fonds du FISF(et en bonne partie pour l’AMF)sont les inscrits à l’AMF. Ainsi, quelque soit l’entité qui déboursera pour compenser les consommateurs lésés, les cotisants sont relativement les mêmes.

Les conseillers québécois contribuent déjà à leur juste part pour financer l’encadrement. Une révision majeure s’impose sur la portée de la mission du FISF, ses critères d’admissibilité des réclamations et de ses modes de financement.

Gaétan Veillette, F.Adm.A. Pl.Fin. – 3 sept. 2007

Abus de pouvoir de l’A.M.F.

Lorsque l’A.M.F. se sert de sa position d’autoritée et de contrôlle pour obliger les plus faibles, démunies(les membres de l’A.M.F.)à effectuer des actes contre leur volonté(payer des cotisations obligatoirs). je me questionne sur le bien fondé de cette organisme…

Je crois que les autoritées gouvernementales devraient profiter des circonstances pour remettre les pendules à l’heure. Car je crois que les membres de L’A.M.F. sont indignées et frustrées de constater le manque de sagesse et de resposabilité social del’A.M.F. Cosmos – 3 septembre 2007

Mobilisation et solidarité

Québec,samedi le 1 er septembre 2007

Suite à l’entrevue que j’ai eu le privilège de faire avec M.McKenzie je me permets d’appeller les professionels des services financiers à se mobiliser de façon organisé et faire valoir leurs droits. Je vous invite tous à donner vos opinions sur ce site et par tous les moyens de communication à votre disposition pour faire savoir aux différents organismes de réglementation votre mécontentement…..

D’autre part, je crois sincèrement que les professionels des services financiers et cadres des sociétés financières devraient avoir plus de places à l’intérieur de ces organismes de réglementation comme au temps révolu de L’AIAPQ.Ce qui empêcherait, ou du moins diminuerait, les cas de fraudes….Comme me disait un de mes anciens directeurs et je le cite "j’ai toujours eu le pif pour flairer les fraudeurs et j’aurais sûrement vu venir le scandale de Norbourg"(fin de la citation…)J’invite aussi tous les professionnels des services financiers,évidemment, à pratiquer avec honnêteté et probité mais aussi à dénoncer sans hésitation les cas de fraudes qu’ils pourraient constater pendant leur pratique.J’ai moi-même,lorsque je pratiquais,relevé des cas de fraudes dans une clientèle que j’avais acheté et je n’ai pas hésité une minute à alerter les autorités et la SQ.Ce fut très "time consuming" si vous me permettez l’expression mais les clients lésés ont été remboursés par les sociétés de placements(qui ont, soit dit en passant, été très collaboratices et respectueuses de la clientèle)et les fraudeurs ont été punis. Enfin, il faudra quand même trouver une façon de dédommager les investisseurs et les épargnants qui ont été lésés dans le scandale Norbourg….mais il y a deux grandes questions la première:COMMENTet la deuxième:où est l’argent ?????Et je me permets de réitérer encore comme le dit M.Michaud la justice doit avoir des dents……

Hubert Benoit – 1er septembre 2007 Député de MontmorencyAile parlementaire adéquisteConseiller en sécurité financièreReprésentant en épargne collectivehbenoit-mont@assnat.qc.ca

Ridicule

Ridiculous, that’s all I have to say. WHat about the Quebec government who gave Norbourg a tax break? What about the AMF who was overseeing Norbourg’s books? Not only are we paying for VL we are also paying for beauracratic incompetence.

Yan – 31 août 2007

Facile de lancer la serviette,

Je trouve cela totalement irresponsable de la part de l’AMF.Je les trouve à court d’idées ils l’ancent la serviette et rendent tout le monde responsable pour leur incompétence,pourquoi ne pas charger une amende à toute les compagnies de fond mutuel pour renflouer la caisse ?Il falait avoir le gots, pourquoi on n’a pas prévenu le problème,que se passera t-il si un autre Norbourg se découvre fraglant déli.Quand nous sommes des petits fonctionnaires Minable ,très peut dynamique méconnaissant les courtiers et leurs travail, qui sont majoritairement des personnes professionnel et soucieuse du bien être de leurs clients .Quand nous voyons ces gens de l`AMF aparaitrent à la TV nous notons sans équivoque le manque de dynamisme et de trouveurs de solutions si ils étaiaient dans l’entreprise privée il y a longtemps q’on s’en serais débarassé.

Jean-Paul Fortier – 31 août 2007

Affaire Norbourg.

Les principaux fautifs et responsables de cette louche affaire sont les dirigeants de l’autorité des marchés financiers, toutes les firmes de placement et les banques qui ont participé à la mise sur pied de ce montage financier et en dernier ressort, les conseillers qui ont vendu les fonds évolution.

Nous, les indiens dans la bataille, nous n’y sommes pour R I E N .

Si j’avais de l’autorité, plusieurs de ces personnes seraient interdit de pratique pour l’éternité; on veut la transparence pour les investisseurs, eh bien, on prend les grands moyens!

Abus de pouvoir – 31 août 2007

Nous ne sommes pas les bons payeurs!

Quelques questions me viennent à l’esprit.

Si l’AMF accepte d’indemniser une certaine quantité de client, c’est qu’elle en ait venu à la conclusion que certains représentants avaient commis des erreurs, des omissions ou tout simplement des fraudes. Alors, que sont devenus ces représentants?

N’ont-il pas d’assurance responsabilité. Ne peuvent-ils pas être poursuivit par l’AMF. À ce que je sache, la plupart pratique encore leur métier sans être importuné. L’AMF a choisi la solution facile et nous en payons les frais. Accepté de payer c’est accepter une part des responsabilités!!!!!!!

Si quelqu’un peut répondre à mes questions, je lui en serai gré.

Un conseiller écoeuré par l’injustice – 31 août 2007

SCREWED

J’ai lu suffisament pour savoir que nous sommes en train d’etre fourre … don’t matter how much in financial assets we are responsible for we all pay the same fees. That, in my opinion is not entirely fair.

What is more disturbing is where does "Errors and omissions coverage" come into the picture? One of your respondents is absolutely correct! We are being punished by those who were involved in the scandal, not that they were accomplices to the debacle but they were certainly involved in promoting the sale of the defunct funds … there lies some questionable responsibilties. What about the investor too ?… does he have no responsibility in his decision making process to invest in the funds offered ? Was there a compliance issue?

Oh what the hell … this is a tough business and as usual it’s the heads of the foot soldiers that roll!! We live in a "guided democracy" where creative employment is just another way to expropriate money from our not so deep pockets. Here is something to ponder … do you think that financial advisors outside of the protection of the big banks earning say a $100,000 or a bit more, are financially well off? Aside from taxes, the cost of doing business and of couse the cost of raising a family you hardly get by. No wonder, in urbain centers across Canada it’s not unususual to have neighbors on either side of your 6000 sq ft lot and $200,000 house just 4 feet away! You can hardly get a wheelbarrel in the back yard! In my case … I can park 9 cars in my drive way and put a couple of trucks in my yard! So much for that. I’m outa here.

Big Foot – 30 août 2007

Commission d’enquête

Il faudrait qu’une commission d’enquête se penche sur les agissements de l’AMF. En effet. C’était à elle de surveiller et de protéger le public. Pourquoi devrais-je payer pour la faute de L’AMF?

V. Lacroix n’avait-il pas des assurances responsabilité? Tous ses biens auraient dûs être saisis dès le dépôt des procédures. Ma cotisation devrait servir à protéger le public de façon préventive et non pas à renflouer les coffres de l’AMF qui se »pognait le cul» quand il était temps d’agir.

Geneviève – 30 août 2007

Desaccord

Je suis totalement en desaccord que L’AMF puisse augmenter les cotisation de facons si drastique quant nous savons que ce n’est aucunement la faute des conseillers et de plus les compagnies de Fonds ou d’assurance ne cotise nullement a ce fonds

Un insatisfait – 30 août 2007

Gestion par des fonctionnaires

L’AMF fait pas grand chose pour nous qui les payons toujours plus cher…

Jean St-Pierre B.a.a.,Adm.a. Pl.fin -30 août 2007

Hausse des cotisations au FISF

Mon point du vue est celui d’un conseiller membre de la CSF et celui du porte-parole du RICIFQ. Comme vous tous et toutes la décision de l’AMF est injuste et inéquitable. De plus et nalheureusement la loi actuelle donne tous les pouvoirs à l’AMF et aucun aux représentants. Les représentants ne font même pas partie de la loi sauf en ce qui a trait à la déontologie. C’est une loi qui a été mise en place sans que les représentants puissent donner leur opinion: On était sous l’impression(fausse)que la CSF allait nous représenter. Revenons donc à la hausse des cotisations. Les paroles et les opinions nous permettent de nous défouler mais ne donneront pas de résultats tangibles. Il faut continuer à s’exprimer mais aussi poser des gestes concrets. Voic quelques suggestions:

– La CSF s’est prononcée sur l’inéquité de cotiser uniquement les représentants et de vouloir former un comité pour réviser la gestion du FISF. La seule dénonciation est une bonne chose mais n’est pas suffisante et le comité risque de prendre trop de temps. Je vous encourage à communiquer directement avec la CSF et demandé qu’elle intervienne pour demander au Ministre des Finances de ne pas approuver le projet de réglementation déposé par l’AMF. Ceci dans le but de donner le temps à l’emsemble des intervenants de l’industrie(incluant lesreprésentants)de faire le point sur le FISF. Nous sommes tous et toutes des membres de la CSF et en tant que membres on a le droit de demander des comptes.- Si vous avez des contacts privilégiés au gouvernement, à l’opposition officielle(ADQ)ou au PQ, contactez-les et mettez-les au courant de cette injustice- Devenez membre du RICIFQ le seul organisme totalement dédié à la cause des conseillers et représentants travailleurs-autonomes du Québec. Allez au www.regroupement.ca

C’est uniquement en nous regroupant et en étant solidaires que nous serons écoutés et respectés. Autrement nous sommes la cible la plus facile tant pour le régulateur que pour les autres intervenants de l’industrie.

Larry Bathurst AVA, Pl.fin, président et porte-parole du Regroupement indépendant des conseillers de l’industrie financière du Québec(RICIFQ) – 30 août 2007

L’honnête paie encore…

C’est déprimant! Notre système juridique fait vraiment «dur», encore une fois ce sont les personnes honnêtes qui paieront pour ceux qui sont favorisés par le système juridique déficient. Comment se fait-il que mr Lacroix possède encore des biens?? Ne peut-on saisir?? Ben non c’est trop de troubles, à la place on va aller piger dans les poches des conseillers en augmentant les primes! Les fraudeurs c’est comme la prostitution, il y en a toujours eu et il y en aura toujours, peut-être faudrait-il prendre des mesures pour diminuer les fraudes?? Et non pas hausser les cotisations pour payer les pots cassés??

La tannée de payer… – 30 août 2007

Je suis très frustrée de devoir payer quelque chose dont je ne suis pas responsable.

Si M. Lacroix a voulu frauder le système, c’est à lui de payer ses frais. Ce n’est pas aux conseillers actifs de payer les fautes des personnes qui font des erreurs.

Si cela est accepté, les conseillers qui pensent faire des fraudes, ce diront que ce n’est pas grave, que les autres conseillers qui travaillent durement et droit, paieront pour cela.

Je trouve cette hausse de cotisation injuste.Hélène Bolduc – 30 août 2007

Tous ensemble, on peut contrer cette hausse

Que direz-vous si tous les représentants en épargne collective décidaient de ne plus renouveler leur permis? Est-ce que L’AMF continuerait d’exister? Si je comprends bien, nous payons l’AMF pour renflouer les fraudes. Est-ce que je dois comprendre que celui-ci veut protéger les malhonnêtes. Pourquoi nous représentants devons payer pour des personnes et groupes incompétents et sans scrupule. Voyons c’est une farce ou bien l’AMF est un organisme déficient et avec aucun jugement intelligent. L’AMF me déçoit énormément. Il faut que tous les représentants se tiennent sur hausse ridicule et sans aucune raison valable. Si l’AMF maintient cette hausse, mettons-les au défi!!!!!

Sandra Arnold – 30 août 2007

Qui devrait renflouer le fond pour la protection du consommateur?

Comme tout bon citoyen et travailleur autonome; je suis tenu de payer mes taxes,mes impôts,mes cotisations aux divers organismes qui régissent mes activitées commerciales,mes assurances responsabilitées professionnelles etc. etc.,et depuis un certain temps une cotisation à un fond de protection pour le consommateur qui m’apparaissait raisonnable afin de montrer aux consommateurs le sérieux de notre profession. Ce n’est pas encore assez, maintenant il faudrait que nous payions une somme aditionnelle pour les fraudeurs et les institutions qui ne font pas leur JOB de surveillance,soit,pour le cas de NORBOURG:l’AMF,les FIRMES DE COMPTABLES,les COMPAGNIE DE FIDUCIE pour ne nommer qu’eux.Comme plusieurs de mes confères, j’en ai assez de me faire fourrez! Après avoir travaillé 21 ans dans le domaine banquaire,j’ai commencé une nouvelle carrière dans le domaine des services financiers en 1986 et ça fait vingt et un ans que je me bâtis une clientèle, client par client, les déservant en assurances de personnes, en assurances collectives et en fonds commun de placements,sans auncunes plaintes. Dans toutes ces années de travail dans le domaine financiers(42 ans),de tous les organismes qui ont été créés dans le passé et qui avait pour but de protéger le consommateur et d’assainir les professions qui oeuvrent dans le marché financier;la pire des expériences est celle que nous subissons présentement avec l’AMF. Tout les prévilèges aux Compagnies et Banques,rien pour les agents et courtier indépendants et très peu de protection pour le consommateurs,et des grosses JOB bien payés pour ceux qui ne font pas leur travail de protection pour le consommateur et la porte toute grande ouverte pour les fraudeurs,car ils ne sont pas pénalisé adéquatement pour les geste posés. Assez c’est assez et je me permets de vous dire de mettre votre nouvelle facturation où je pense;dans la poche des coupables.

Denis Gauthier, AVA et Plan. Fin – 29 août 2007

Cotisation annuelle

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