Fin des commissions : d’autres réactions

17 juillet 2009 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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La décision des autorités britanniques de mettre fin à la rémunération sous forme de commissions à compter de 2012 continue de faire réagir les conseillers au Québec et ailleurs au pays.Un modèle à importer, estiment d’autresPour Richard Knowles, il est impensable d’importer ici des règles propres à l’industrie britannique des services financiers. «Nous sommes fondamentalement différents avec une éthique différente. Si le problème consiste à surveiller et à encadrer des mauvais conseillers, corrigeons le problème, pas ses symptômes, à l’aide d’un meilleur système de vérification. Notre cabinet et de nombreuses autres firmes indépendantes réputées doivent se plier aux audits, contrôles et vérifications des régulateurs provinciaux afin d’assurer la protection des consommateurs. Cela fonctionne très bien. Au bout du compte, si la question est de faire épargner des frais aux clients, sachez que vous obtenez ce pour quoi vous payez», écrit ce planificateur financier de Vancouver.