Harbour Group voit des occasions d’investissement aux États-Unis

27 juillet 2006 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
2 minutes de lecture

(27-07-2006)Le cabinet Harbour Group, une propriété de RBC Dominion valeurs mobilières, invite les investisseurs canadiens à diversifier leurs portefeuilles de placement. Il recommande notamment d’investir dans des titres américains afin de briser la dépendance qui lie un grand nombre d’actions canadiennes au secteur des matériaux de base.


Le marché canadien est étroit, comme on le sait, et la vague de fusions et d’acquisitions qui y déferle depuis quelques mois rétrécit encore plus le choix de titres avantageux. En outre, cela a pour effet de le rendre moins liquide aux investisseurs institutionnels, note Harbour Group.

Le cabinet constate que les marchés boursiers américains sous-évaluent actuellement un certain nombre de titres qui présentent des bilans sains et dont les perspectives de croissance des bénéfices sont encourageantes.

Il recommande entre autres trois titres du secteur des services financiers. Bank of America est son premier choix. Cette banque est solidement implantée dans le marché du détail. Elle recueille 9 % de tous les dépôts des consommateurs américains, ce qui est significatif. L’équipe de direction s’est résolument engagée sur la voie de la technologie, réduisant ainsi les frais d’exploitation. Cela se reflète dans le dividende, qui offre un taux de rendement de 3,9 %.

Citigroup est le deuxième favori de Harbour Group. La banque new-yorkaise a des activités à l’échelle de la planète et commence à prendre de bonnes parts de marché en Inde et au Brésil, deux pays émergent au fort potentiel de croissance. Aux États-Unis, Citigroup exploite la firme de courtage Smith Barney, l’une des plus profitables au pays. Les actionnaires de Citigroup touchent un dividende dont le taux de rendement est de 4,1 %.

Son troisième choix porte sur une banque régionale, Washington Mutual. Cette banque est en train de développer un créneau prometteur, celui des prêts commerciaux. L’action de Washington Mutual est assortie d’un dividende de 4,6 % par année.

(27-07-2006)Le cabinet Harbour Group, une propriété de RBC Dominion valeurs mobilières, invite les investisseurs canadiens à diversifier leurs portefeuilles de placement. Il recommande notamment d’investir dans des titres américains afin de briser la dépendance qui lie un grand nombre d’actions canadiennes au secteur des matériaux de base.


Le marché canadien est étroit, comme on le sait, et la vague de fusions et d’acquisitions qui y déferle depuis quelques mois rétrécit encore plus le choix de titres avantageux. En outre, cela a pour effet de le rendre moins liquide aux investisseurs institutionnels, note Harbour Group.

Le cabinet constate que les marchés boursiers américains sous-évaluent actuellement un certain nombre de titres qui présentent des bilans sains et dont les perspectives de croissance des bénéfices sont encourageantes.

Il recommande entre autres trois titres du secteur des services financiers. Bank of America est son premier choix. Cette banque est solidement implantée dans le marché du détail. Elle recueille 9 % de tous les dépôts des consommateurs américains, ce qui est significatif. L’équipe de direction s’est résolument engagée sur la voie de la technologie, réduisant ainsi les frais d’exploitation. Cela se reflète dans le dividende, qui offre un taux de rendement de 3,9 %.

Citigroup est le deuxième favori de Harbour Group. La banque new-yorkaise a des activités à l’échelle de la planète et commence à prendre de bonnes parts de marché en Inde et au Brésil, deux pays émergent au fort potentiel de croissance. Aux États-Unis, Citigroup exploite la firme de courtage Smith Barney, l’une des plus profitables au pays. Les actionnaires de Citigroup touchent un dividende dont le taux de rendement est de 4,1 %.

Son troisième choix porte sur une banque régionale, Washington Mutual. Cette banque est en train de développer un créneau prometteur, celui des prêts commerciaux. L’action de Washington Mutual est assortie d’un dividende de 4,6 % par année.

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