Le marché de la construction résidentielle bien servi par la diminution des taux hypothécaires

23 mai 2007 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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(23-05-07)L’Indicateur avancé de l’Association provinciale des constructeurs d’habitations du Québec(APCHQ)affiche une première hausse au premier trimestre de 2007, et ce, après six trimestres baissiers. Cette évolution favorable pourrait s’expliquer par la diminution des taux hypothécaires à la fin de 2006 et du taux de croissance des prix des maisons neuves.

Selon l’analyse de l’APCHQ, cette conjoncture laisse présager que la baisse des mises en chantier appréhendée sera moins importante que prévu, et ce, pour les douze prochains mois.

«Il est bien sûr trop tôt pour prédire la fin de la tendance baissière des mises en chantier compte tenu des forces démographiques sur lesquelles s’appuie le marché résidentiel neuf à long terme. Cependant, à court terme, ce marché est sensible aux variations des taux hypothécaires, de la croissance des prix des maisons neuves, du revenu des ménages et de l’emploi», explique Steeves Demers, économiste principal à l’APCHQ.

La moyenne trimestrielle semble également indiquer que l’environnement économique demeure relativement favorable à la construction résidentielle, mais que l’enthousiasme demeure fragile et surtout tributaire d’une possible hausse des taux hypothécaires et d’une baisse de la création d’emplois pour que la tendance baissière se confirme et s’accélère pour atteindre un niveau d’équilibre.

«Il est bien sûr trop tôt pour prédire la fin de la tendance baissière des mises en chantier compte tenu des forces démographiques sur lesquelles s’appuie le marché résidentiel neuf à long terme. Cependant, à court terme, ce marché est sensible aux variations des taux hypothécaires, de la croissance des prix des maisons neuves, du revenu des ménages et de l’emploi», explique Steeves Demers, économiste principal à l’APCHQ.

La moyenne trimestrielle semble également indiquer que l’environnement économique demeure relativement favorable à la construction résidentielle, mais que l’enthousiasme demeure fragile et surtout tributaire d’une possible hausse des taux hypothécaires et d’une baisse de la création d’emplois pour que la tendance baissière se confirme et s’accélère pour atteindre un niveau d’équilibre.