Les fusions déroutent-elles les investisseurs ?

23 mai 2007 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
2 minutes de lecture

(23-05-07)Un rapport de Marchés mondiaux CIBC révèle que les activités liées aux fusions et acquisitions au Canada ont presque doublé par rapport à la même période l’an dernier et représentent 44% de la hausse de l’indice composé TSX au cours des 12 derniers mois.

En fait, en date d’aujourd’hui, la valeur des fusions et acquisitions canadiennes est supérieure à 175 G$ et, au mois de mai seulement, la valeur des opérations annoncées atteint 82 G$.

«Les investisseurs assistent à la plus grande vague de fusions de l’histoire. Le résultat est l’émergence de mastodontes mondiaux dont la capitalisation rivalise avec le PIB de nombreux pays. En outre, leur création a généralement mené au versement de généreuses primes, alimentant la hausse des marchés boursiers du monde entier», analyse Jeff Rubin, économiste en chef et stratège en chef, Marchés mondiaux CIBC.

Selon les auteurs du rapport, ces primes ont joué ont rôle essentiel dans le rendement de la Bourse de Toronto l’an dernier et les pressions ainsi exercées ont compté pour la totalité de l’augmentation dans le secteur minier et pour une bonne part des gains des actions des secteurs des télécommunications et des biens de consommation discrétionnaires.

«Les investisseurs assistent à la plus grande vague de fusions de l’histoire. Le résultat est l’émergence de mastodontes mondiaux dont la capitalisation rivalise avec le PIB de nombreux pays. En outre, leur création a généralement mené au versement de généreuses primes, alimentant la hausse des marchés boursiers du monde entier», analyse Jeff Rubin, économiste en chef et stratège en chef, Marchés mondiaux CIBC.

Selon les auteurs du rapport, ces primes ont joué ont rôle essentiel dans le rendement de la Bourse de Toronto l’an dernier et les pressions ainsi exercées ont compté pour la totalité de l’augmentation dans le secteur minier et pour une bonne part des gains des actions des secteurs des télécommunications et des biens de consommation discrétionnaires.