Accueil Breadcrumb caret Nouvelles Breadcrumb caret Industrie L’OICV fait un premier post-mortem de la crise du crédit L’Organisation internationale des commissions des valeurs (OICV) vient de dresser un premier bilan de la crise du crédit à l’échelle mondiale. Ses observations dont contenues dans un rapport (en anglais) que vous pouvez consulter en cliquant ici Selon l’OICV, trois facteurs expliquent le dérapage des marchés :1. Les marchés secondaires où l’on négocie les produits […] 30 mai 2008 | Dernière mise à jour le 16 août 2023 2 minutes de lecture L’Organisation internationale des commissions des valeurs (OICV) vient de dresser un premier bilan de la crise du crédit à l’échelle mondiale. Ses observations dont contenues dans un rapport (en anglais) que vous pouvez consulter en cliquant ici Selon l’OICV, trois facteurs expliquent le dérapage des marchés :1. Les marchés secondaires où l’on négocie les produits structurés demeurent opaques, malgré toute la réglementation à laquelle ils sont astreints.2. Les investisseurs institutionnels et les banques d’investissement n’avaient pas les bons outils pour mesurer les risques particuliers que posent les produits structurés, de plus en plus nombreux et complexes.3. Les normes comptables qui servaient à estimer la juste valeur de ces produits structurés ne généraient pas de bonnes informations L’OICV a formulé une dizaine de recommandations destinées à améliorer la transparence des émetteurs de produits structurés et à standardiser leurs données financières. Des sondages, des études et le resserrement des codes de conduite figurent à l’ordre du jour. Le Québec, l’Ontario, l’Alberta et la Colombie-Britannique ont participé à la conférence annuelle de l’OICV au cours de laquelle on a dévoilé les grandes lignes du premier bilan sur la crise du crédit. Sauvegarder Stroke 1 Imprimer Group 8 Partager LI logo L’Organisation internationale des commissions des valeurs (OICV) vient de dresser un premier bilan de la crise du crédit à l’échelle mondiale. Ses observations dont contenues dans un rapport (en anglais) que vous pouvez consulter en cliquant ici Selon l’OICV, trois facteurs expliquent le dérapage des marchés :1. Les marchés secondaires où l’on négocie les produits structurés demeurent opaques, malgré toute la réglementation à laquelle ils sont astreints.2. Les investisseurs institutionnels et les banques d’investissement n’avaient pas les bons outils pour mesurer les risques particuliers que posent les produits structurés, de plus en plus nombreux et complexes.3. Les normes comptables qui servaient à estimer la juste valeur de ces produits structurés ne généraient pas de bonnes informations L’OICV a formulé une dizaine de recommandations destinées à améliorer la transparence des émetteurs de produits structurés et à standardiser leurs données financières. Des sondages, des études et le resserrement des codes de conduite figurent à l’ordre du jour. Le Québec, l’Ontario, l’Alberta et la Colombie-Britannique ont participé à la conférence annuelle de l’OICV au cours de laquelle on a dévoilé les grandes lignes du premier bilan sur la crise du crédit. Économie Protéger la biodiversité grâce à des investissements innovants SOMMET FD 2024 -Une nouvelle génération de produits financiers « pronature » voit le jour. Par Carole Le Hirez |28 mai 2024 4 minutes de lecture Industrie Tripler l’investissement d’impact d’ici 2030 SOMMET FD 2024 – 18 recommandations pour stimuler l’industrie. Par Carole Le Hirez |23 mai 2024 2 minutes de lecture Industrie Un centre dédié au financement de la biodiversité s’établira à Montréal SOMMET FD 2024 - En collaboration avec les Nations Unies. Par La rédaction |21 mai 2024 2 minutes de lecture Nous utilisons des témoins de navigation (cookies) afin d’opérer et d’améliorer votre expérience sur notre site Internet. En cliquant sur J’accepte et en continuant de naviguer sur notre site, vous confirmez l’approbation de notre politique de confidentialité et nos conditions d’utilisation J'accepte