L’OICV fait un premier post-mortem de la crise du crédit

30 mai 2008 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
2 minutes de lecture

L’Organisation internationale des commissions des valeurs (OICV) vient de dresser un premier bilan de la crise du crédit à l’échelle mondiale. Ses observations dont contenues dans un rapport (en anglais) que vous pouvez consulter en cliquant ici


Selon l’OICV, trois facteurs expliquent le dérapage des marchés :1. Les marchés secondaires où l’on négocie les produits structurés demeurent opaques, malgré toute la réglementation à laquelle ils sont astreints.2. Les investisseurs institutionnels et les banques d’investissement n’avaient pas les bons outils pour mesurer les risques particuliers que posent les produits structurés, de plus en plus nombreux et complexes.3. Les normes comptables qui servaient à estimer la juste valeur de ces produits structurés ne généraient pas de bonnes informations

L’OICV a formulé une dizaine de recommandations destinées à améliorer la transparence des émetteurs de produits structurés et à standardiser leurs données financières. Des sondages, des études et le resserrement des codes de conduite figurent à l’ordre du jour.

Le Québec, l’Ontario, l’Alberta et la Colombie-Britannique ont participé à la conférence annuelle de l’OICV au cours de laquelle on a dévoilé les grandes lignes du premier bilan sur la crise du crédit.

L’Organisation internationale des commissions des valeurs (OICV) vient de dresser un premier bilan de la crise du crédit à l’échelle mondiale. Ses observations dont contenues dans un rapport (en anglais) que vous pouvez consulter en cliquant ici


Selon l’OICV, trois facteurs expliquent le dérapage des marchés :1. Les marchés secondaires où l’on négocie les produits structurés demeurent opaques, malgré toute la réglementation à laquelle ils sont astreints.2. Les investisseurs institutionnels et les banques d’investissement n’avaient pas les bons outils pour mesurer les risques particuliers que posent les produits structurés, de plus en plus nombreux et complexes.3. Les normes comptables qui servaient à estimer la juste valeur de ces produits structurés ne généraient pas de bonnes informations

L’OICV a formulé une dizaine de recommandations destinées à améliorer la transparence des émetteurs de produits structurés et à standardiser leurs données financières. Des sondages, des études et le resserrement des codes de conduite figurent à l’ordre du jour.

Le Québec, l’Ontario, l’Alberta et la Colombie-Britannique ont participé à la conférence annuelle de l’OICV au cours de laquelle on a dévoilé les grandes lignes du premier bilan sur la crise du crédit.

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